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Du romarin et du piment pour protéger les tomates
Une plante éloigne les ravageurs, une autre les attire : la méthode push-pull a déjà sauvé de nombreuses récoltes de maïs. Mais fonctionne-t-elle aussi pour la tomate et sa redoutable mineuse ? Nous avons posé la question à trois étudiantes du Centre international de recherche sur les insectes (icipe), qui nous aident dans notre projet au Kenya.
Le courage est dans le pré
La famille Zürcher a donné une nouvelle orientation à sa petite exploitation dans l’Emmental grâce à l’aide d’autres paysan·nes. Le projet de coaching soutenu par Biovision montre l’importance de la confiance et du dialogue avec ses pairs pour transformer notre agriculture.
Prédateurs ailés, pièges et fumier
Difficile d’imaginer la cuisine kényane sans tomates. Or pour les cultiver, les familles paysannes doivent relever de nombreux défis. À Narosura, un village très isolé, des méthodes de culture durables et une « unité spéciale » venue du Pérou sont à présent porteuses d’un nouvel espoir.
Du hangar à la serre
Lorsque Biovision s’est rendue au Kenya en 2020 pour visiter son projet de culture durable de tomates, la situation était préoccupante : des hommes mélangeaient des pesticides hautement toxiques sans protection, les déchets s’amoncelaient partout et des tomates fortement contaminées étaient produites et vendues. Aujourd’hui, le tableau est tout autre – grâce aussi au soutien de nos donatrices et donateurs.
Marchés, Politique
Mettre en avant l’agroécologie : une approche de Biovision
Biovision s’engage à améliorer le cadre politique de l’agroécologie. La visibilité des entreprises qui mettent en œuvre l’agroécologie avec succès est un levier central. En démontrant que réussite économique et engagement social sont compatibles, elles fournissent des arguments convaincants en faveur d’une politique agricole d’avenir. Dans cette vidéo, vous découvrirez comment nous mettons ces entreprises en lumière, à l’exemple d’un prix décerné à Kigali, au Rwanda.
Politique
« L’agroécologie est la solution pour régénérer les sols »
Les sols se dégradent à vitesse grand V dans le monde entier. Des millions de personnes et d’immenses surfaces agricoles sont touchées. Charlotte Pavageau, de l’équipe Dialogue politique et plaidoyer de Biovision, explique pourquoi rien n’est possible sans un cadre politique adéquat, ce qui doit changer et en quoi l’agroécologie fait déjà ses preuves.
Qui sommes-nous
Que reste-t-il quand un projet Biovision prend fin?
Que se passe-t-il lorsqu’une organisation comme Biovision se retire d’un projet ? Comment s’assurer que les avancées réalisées continuent de porter leurs fruits ? Prenons l’exemple d’un projet achevé de régénération des sols en Éthiopie pour tenter de répondre à cette question.
Agriculture
Le retour de la verdure
Autrefois, dans le sud de l’Éthiopie, le sol était dur et la terre tellement sèche qu’elle partait en poussière. Aujourd’hui des arbres poussent à nouveau. Mais comment a-t-on fait pour passer de l’aridité à la fertilité ? Zayineba Hashim Bultuma connaît la méthode pour l’avoir personnellement appliquée, plant après plant.
Agriculture, Savoir
Agroécologie : ce qui lui manque pour percer
Comment mettre en avant les «phares» en matière d’agroécologie et faciliter
la conversion d’autres exploitations ? Cette question est au centre d’une étude
commanditée par Biovision pour promouvoir plus largement l’agroécologie en Suisse.
Agriculture
Des graminées aux grands effets
Elles protègent les récoltes de redoutables ravageurs, améliorent la santé des sols et offrent de nouvelles perspectives à leurs cultivatrices : les graminées dont Biovision soutient la culture dans le sud de l’Éthiopie rendent l’agriculture de toute une région plus durable et équitable.
Agriculture
De deux moutons à 400 poules
Dans une région pleine de défis, Tsehay Gemechu, originaire du centre de l’Éthiopie, a transformé la vie de sa famille de manière spectaculaire. Ce qui a commencé avec deux moutons s’est transformé en une ferme avicole florissante – une véritable success-story.
Marchés
Une journée dans la vie d’une vendeuse de rue à Nairobi
Le projet Urban Nutrition fait également appel à des vendeuses de rue pour permettre aux habitant·es de Viwandani, un quartier pauvre de Nairobi, d’avoir accès à des aliments sains. Ann Gathoni Wangari, 42 ans, est l’une de ces dénommées « Mama Mboga ». Elle nous décrit une journée type et explique pourquoi les légumes biologiques ne devraient pas coûter plus cher que les autres.